Depuis il a changé et le monde aussi. Nos actions ont-elles un impact sur le monde ? La-Philosophie.com aide les élèves de terminales dans la préparation du bac, les élèves de classes prépa dans celle de leur concours, ceux de fac dans leurs recherches, et enfin tous les curieux de sciences humaines à étancher leur soif de savoir. La conscience fait-elle de l’homme une exception ? En effet, l’émancipation est un gain en liberté, par opposé à l’aliénation, nous sommes d’accord. L’essence constitue l’ensemble des éléments constitutifs d’une chose. Sur la question de la répartition du (ou des) pouvoir(s), cf. L'expression consiste en général à extérioriser notre pensée, par la parole ou par l'écrit (la presse par exemple). que des êtres humains “normaux” mis dans des rôles / des normes / des systèmes / … peuvent se comporter en monstres… Et le “haut grade” d’Eichmann ne change rien à sa “finitude humaine” essentielle. Il s’agit de tenter de quantifier ceux-ci de manière à minimiser les peines et souffrances, tout en maximisant les plaisirs et joies. Il y a donc une responsabilité par rapport au futur, qu’il énonce de la sorte : « Agis de façon que les effets de ton action soient compatibles avec la permanence d’une vie authentiquement humaine sur terre » (JONAS, H., Le principe responsabilité. » De qui est cette citation ?Schopenhauer Sartre RousseauSpinoza réfute le libre arbitre.VRAI FAUXQui a dit : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire » ?Voltaire Nietzsche KierkegaardCaprice et volonté sont-ils des termes synonymes ?VRAIFAUXQui a affirmé : « L’angoisse est le vertige de la liberté » ?Kierkegaard Spinoza LeibnizQuel auteur a écrit « L’existentialisme est un humanisme » ?Heidegger KierkegaardSartre Etre libre implique l’absence d’obstacles.VRAIFAUXTrouvez la problématique la plus juste pour le sujet suivant: Peut-on prouver la liberté ? La liberté politique s'oppose à la liberté naturelle. Médias & informations : 40 activités pédagogiques pour le secondaire, De Boeck, 2014. La question de la liberté a donné lieu à de nombreuses théories philosophiques et politiques : stoïcisme, anarchisme, individualisme, libertarisme, existentialisme… Tentons de donner une définition philosophique de la liberté. Pourquoi est-ce que j’obéis à telle ou telle « règle » ? L’essentialisme considère que les choses et/ou les hommes peuvent être appréhendés en fonction d’une « nature », d’un « fond » permanent, qui ne change pas, une identité « fixe » en quelque sorte. La question de la liberté a donné lieu à de nombreuses théories philosophiques et politiques : stoïcisme, anarchisme, individualisme, libertarisme, existentialisme… Tentons de donner une définition philosophique de la liberté. Je pense pour ma part au contraire que ce que dit Arendt d’Eichmann, bien que ce soit une construction a posteriori, ne soit pas de l’ordre du “faux”, et ce en te rejoignant en même temps sur la nécessaire confrontation aux données historiographiques. La liberté s'applique-t-elle à tous ou seulement à certains privilégiés ? De manière générale, le bonheur est tantôt défini d’un point de vue plutôt subjectiviste (le bonheur dépend du sentiment de l’individu, et donc de son propre rapport aux choses), tantôt d’un point de vue plutôt objectiviste (le bonheur dépend d’états de fait qui procurent objectivement de la joie, telle qu’un observateur extérieur pourrait en juger). Le déterminisme(en philosophie morale) consiste à dire que des lois extérieures déterminent l’individu, ses actes et ses pensées. Je réponds ceci : « Si je te comprends bien, ça rejoint une critique communément adressée à Arendt, entre autres sur le “manque d’intelligence” qu’elle attribue à Eichmann, notamment lorsqu’elle le qualifie de “médiocre”. Toute contrainte est-elle un obstacle à la liberté ? Du reste, je suis parfaitement d’accord, je le redis, sur la rigueur et la prudence avec lesquelles traiter cette thèse philosophique, notamment en regard des faits historiques. Dissertation Philosophique sur le libre arbitre. Je partage le point de vue de Satprem, s’enfermer (dans des règles) c’est le mal. Par exemple, pourquoi s’acharne-t-il tant à continuer la déportation des Juifs de Hongrie en octobre 1944 alors que Himmler a en personne ordonné la fin des déportations ? Le … Concernant le déontologisme et le conséquentialisme : ce que tu dis sur le déontologisme rejoint des critiques classiques envers ce courant. Si oui, comment ? Pour Hans Jonas, le pouvoir humain oblige aujourd’hui à repenser la portée de cette responsabilité. Il y a un hiatus gênant entre la réflexion morale et philosophique et ce que nous dit l’historiographie, et c’est à mes yeux problématique face, par exemple, à des discours négationnistes (la thèse philosophique la plus connue sur la banalité du mal repose sur une lecture contredisant les faits historiques). Je terminerai en disant qu’à mon avis le bien et le mal sont hors d’atteinte de la raison et donc de la philosophie. Nos professeurs traitent tous les sujets, de tout niveaux, terminale, fac, classe prépa. La liberté : définition philosophique. L’humanité en chacun des hommes est une fin en soi, et non un moyen en vue d’une fin extérieure. Socrate est un être humain : son essence correspond à son humanité. Faut-il libérer ses désirs ou se libérer de ses désirs ? L’idée d’inconscient exclut-elle celle de liberté ? Essentialisme moral, sécurité et totalitarisme : certains humains sont-ils intrinsèquement des monstres ? De même, étant donné que ce sont aussi des “outils d’évaluation”, il ne s’agit pas uniquement de “se donner bonne conscience”, à mon avis… On peut évaluer un acte a posteriori en fonction de ses conséquences, par exemple, comme tu le fais implicitement (j’interprète) en mentionnant la bombe A : est-ce que la fin justifiait de tels moyens ? ), il y en a une qui se rapproche totalement de cette idée de banalité du mal: si on cesse les déportations, les SS qui sont en charge du génocide sont pour la plupart reversés dans la Waffen-SS, c’est-à-dire envoyés au combat. Toute contrainte est-elle un obstacle à la liberté ? Je me souviens de Monsieur Phi sur sa chaîne YouTube disant qu’en philosophie morale on fini toujours par arriver dans des sables mouvants, à une sorte de malaise où rien n’est sûr. Donc, pour revenir à Arendt, je dirais qu’elle a une intuition intellectuelle fulgurante qui donne un cadre pour penser le rapport à la monstruosité et le problème du jugement moral, mais cette intuition géniale repose sur du sable quand on la confronte à l’historiographie parce qu’en fait ça ne marche pas avec la plupart des hauts responsables nazis (au-delà d’Eichmann, qui est pourtant considéré, sans doute pour des raisons d’apparence physique, comme l’incarnation de cette idée de banalité du mal). Je pense que son niveau d’implication et son propre zèle ne contredisent pas la thèse de la banalité du mal, même si on est bien d’accord que ça la “balise”. Pour lui, l’éthique est donc à lier à cette question fondamentale du bonheur. A quoi est-ce que j’obéis quand je désobéis ? Quels sont leurs impacts sur les pratiques éducatives ? Une découverte ludique du monde des idées . Déontologisme : le jugement de la moralité d’une action se fait en fonction de devoirs, obligations ou interdits moraux. Ce dernier est conditionné premièrement par le caractère, qui n’est pas tant une nécessité totale qui prédétermine absolument les actes qu’une propension, une limite de la liberté, mais face à laquelle « tout est possible, mais d’une façon bornée, étroite » (RICOEUR, P., Philosophie de la volonté, Paris : Aubier, 1950, p. 248). Enfin, je me permet de partager cette vidéo dans laquelle il est dit que “tant que l’individu ne s’enferme pas dans quelque chose, c’est le bien. Plus spécifiquement, pour Sartre, notre identité n’est pas définie à l’avance, elle dépend de nos choix, des actes que nous posons. Tchat « philo », avec Thomas Schauder, lundi 17 juin à partir de 9 h 15. D'où sa philosophie centrée sur la maxime « l'existence précède l'essence ». Il s’agit d’une dissertation de philosophie qui porte sur le concept de « travail » et qui le questionne avec la problématique « est-ce que l’Homme est contraint ou obligé de travailler ? Il s’agit par exemple des lois de la nature (nos actes seraient déterminés biologiquement par notre ADN par exemple) et causalités (modèle « stimulus-réponse » entre autres). On envisage d’ailleurs difficilement une responsabilité sans liberté : si quelqu’un n’a pas le choix par rapport à ce qu’il fait (s’il est sous la contrainte, aliéné…), comment peut-il être désigné comme en étant responsable ? Philosophie, médias et société, par Julien Lecomte. Baptiste Campion complète : « Ce qui est “amusant”, c’est qu’Eichmann a aussi des côtés très humains, à côté desquels passe totalement Arendt. C’est également lui qui s’acharne dans la déportation des Juifs de Hongrie alors que le haut commandement allemand retire des moyens pour les réallouer à la lutte contre les Soviétiques, et qui pour cela outrepasse les ordres de sa propre hiérarchie pour continuer à déporter alors que personne n’y croit plus. La liberté de droit s'oppose à la contrainte légale. Hello Fabiano, merci pour ton commentaire argumenté ! [Or] Eichmann, c’est le contraire même de sa thèse, sauf qu’elle ne l’a pas vu (ou n’a pas voulu le voir, ou a été convaincue par sa défense, qui a effectivement plaidé ça, et a brodé autour à la recherche d’une explication à ce fait… faux). Nos actions ont-elles un impact sur le monde ? Carmen, dit, dans l'Opérade Geor… Une définition du sens commun serait : la liberté est de faire ce qu'on désire sans rencontrer d'obstacle. Chacun … Je pense que la liberté va de pair avec la conscience. En ce sens, les faits semblent donner tort à Arendt : il a bel et bien pris des décisions froidement réfléchies, calculées, organisées, et ce de son propre chef. Avec la conception de la liberté de Spinoza, on peut mieux penser la question de l’insertion de la liberté dans le mécanisme de la nature puisque tout est nécessité. Car où commence la » De qui est cette citation ? Après, je les vois juste comme des “phares” qui sont autant de moyens d’éclairer la réalité, et justement peut-être de donner de la conscience sur ce sur quoi nous fondons nos choix moraux. Quel terme est associé au concept déterminisme ? Par exemple, pourquoi s’acharne-t-il tant à continuer la déportation des Juifs de Hongrie en octobre 1944 alors que Himmler a en personne ordonné la fin des déportations ? Il a participé à toutes les réunions d’organisation et de planification du génocide (jusqu’à 1942, lorsque Heydrich est assassiné par des agents tchécoslovaques du SOE), il a participé à la fameuse “conférence de Wannsee” dont il a lui-même rédigé le procès-verbal qui a permis (entre autres choses) les condamnations pour crimes contre l’Humanité à Nuremberg et ailleurs. Sartre, L'Être et le Néant (1943), Tel, Gallimard, p. 88. C’est une morale de l’intention (la volonté). Parmi les différentes raisons mises en avant par les historiens (idéologiques, politiques, etc. Eichmann était l’adjoint de Reinhard Heydrich, lui-même numéro 2 du RSHA (donc, pour faire simple, de la SS), spécialement pour les “Affaires Juives”. Tout a déjà été dit, mais certaines choses doivent sans cesse être répétées. Marx, Bourdieu ; Marcuse, Adorno et Horkheimer (Ecole de Francfort)…. Sujet de la dissertation de philosophie: « Le travail n’est-il qu’une contrainte ? 1. . C'est l'absence de contrainte et l'indépendance, comme, par exemple, le vagabond non assujetti à un ordre social (Arthur Rimbaud, Jack Kerouac, etc). Or je vois tant dans le déontologisme que dans le conséquentialisme un risque manifeste de “se donner bonne conscience” plutôt que d’agir, de décider, de choisir, “en âme et conscience” à l’instant présent pour utiliser une expression bien connue. Pour Sartre, l’action humaine est contingente, c’est-à-dire pure indétermination : elle a tous les potentiels, en quelque sorte. Bien qu'intéressantes, ces questions philosophiques ont le don de nous filer le vertige sur l'importance de notre existence et de notre impact sur la vie. ». Exemples de présupposés moraux dans des pratiques éducatives) : il s’agit de la croyance dans le fait que l’éducation sert à quelque chose et que chaque apprenant peut être éduqué. Si oui, il y a de quoi être pessimiste : l’humanité pourrait choisir qu’il en soit autrement, or elle ne le fait pas. La liberté : en apparence, c'est le fait de ne jamais être contraint, de faire ou de penser ce que l'on veut. Le destin ou la prédestination (« tout est écrit ») incarnent également une forme de déterminisme, généralement lié à des croyances métaphysiques (instances qui transcendent la physique). La liberté, c’est celle des autres. Peut-on « bien » agir ? Sa thèse, notamment dans le film à son sujet, est souvent caricaturée, comme si elle se résumait à “Eichmann est un simplet pas bien méchant qui a oublié de réfléchir”. La liberté de fait s'oppose à la … Dans quelle mesure dis-je cela ? Téléchargez notre application gratuite sur le Play Store. Ethique des vertus, déontologisme et conséquentialisme. » James Baldwin. Alors en effet, je crois comme toi que ces grands courants se heurtent tous à un moment donné à la complexité du réel. Un débat philo, qu’est --ce que c’est C'est un moment spécifique de de réflexionréflexion des ELEVES des ELEVES ENTRE EUXENTRE EUX à partir :--d’un supportd’un support (lecture d ’album, film, récit d’évènement) qui pose une situationsituation--pb de nature PHILOSOPHIQUE pb de nature PHILOSOPHIQUE--d’un thème qui pose question ((la liberté)) Certains philosophes postérieurs comme Descartes inviteront à considérer l’idée suivante : plutôt que vouloir changer le réel, ne vaut-il pas parfois mieux s’en satisfaire ? En fait, la thèse de Arendt est surtout intéressante pour questionner ce pour quoi elle ne l’a pas élaborée: non les responsables ou les acteurs plus ou moins directs du génocide, mais les autres, les gens “normaux”. L’action d’une personne à un moment donné aurait tout aussi bien pu ne pas avoir lieu, être tout à fait différente. Compte rendu ici L’utilitarisme (Mill, Bentham) est la doctrine qui tâche de mettre la question des biens et des maux particuliers (plaisirs, souffrances) dans une perspective collective. L’art nous détourne-t-il de la réalité ? Le déontologisme et le conséquentialisme représentent deux manières d’évaluer une action morale. Une des limites de la philosophie de Kant est la difficulté de trouver des exemples concrets d’applications du quotidien. C’est le fameux « l’existence précède l’essence » de Sartre (notre action humaine précède « qui nous sommes » : nous nous définissons au fur et à mesure de nos actes). Or, désormais, l’humanité pourrait s’autodétruire. Tout ce que je peux dire en l’état actuel des choses est que la liberté comme autonomie renvoie à mon sens juste au choix conscient, et que ce choix est tributaire d’alternatives… C’est juste pour distinguer la liberté au sens philo d’une liberté qui se définirait uniquement par la négative, comme “je suis libre quand je désobéis”, ce qui est plus complexe en soi…. Autres; ... certaines valeurs jugées essentielles tel que la liberté. Pour Schopenhauer, la volonté et le désir de transcender notre condition se traduit soit par l’échec et les frustrations (notre condition humaine est marquée de finitude, d’un manque), soit par l’ennui (lorsque l’on parvient à un objectif, que le désir est assouvi). Appliquons-les maintenant à la notion de liberté. Une formulation possible de l’impératif catégorique kantien est la suivante : « agis de telle sorte que tu puisses vouloir que la maxime de ton action soit érigée en une loi universelle ». Aux futures conséquences des ses actes. La liberté Quelques sujets de dissertation Liberté et contrainte. Sa morale est régulièrement caractérisée d’une morale du respect. Hannah Arendt explore quant à elle le volet sombre de l’existentialisme, lorsqu’elle développe la thèse de la banalité du mal. Elle dit qu’il n’est pas intelligent, qu’il incarne en quelque sorte le “vide de la pensée”. Cet article est consacré à des études de cas (analyses de présupposés philosophiques) et à des exemples de questions abordées dans le cadre du cours de philosophie des médias et de l’éducation aux médias (master en éducation aux médias, IHECS).. L’objectif de cette liste non-exhaustive de questionnements est double : Quel auteur a affirmé « L’homme est né libre et partout il est dans les fers » ? Avec la conception de la liberté de Spinoza, on peut mieux penser la question de l’insertion de la liberté dans le mécanisme de la nature puisque tout est nécessité. Bac Philosophie 2020 : Notre guide des révisions. Sachez avant tout qu’il n’existe pas de réponse unique à cette question. Doctrines et courants en philosophie morale) : y a-t-il des individus fondamentalement « mauvais », ou « irrécupérables » ? L’optimisme peut se traduire dans une croyance, un pari dans l’être humain : la volonté de transcendance peut parvenir à du positif. Aussi, lorsque tu m’as présenté le satanisme, perso j’y ai trouvé une forme de conséquentialisme : finalement, au lieu de prendre comme critère la maximisation du plaisir et la minimisation des peines à l’échelle collective (utilitarisme), il y a une valorisation du plaisir individuel, soient des conséquences agréables/désagréables pour soi-même “quels qu’en soient les prix” (la fin justifiant les moyens). Le site couvre ainsi les grandes traditions philosophiques, des présocratiques aux philosophes contemporains, tout en essayant d’apporter une lecture philosophique au champ culturel en général, qu’il s’agisse de cinéma, de littérature, de politique ou de musique. La liberté est, selon la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, le premier des “droits naturels et imprescriptibles de l’homme” (article 2). Contrairement à un Dieu qui serait parfait « par essence », l’être humain a à se définir lui-même. Ainsi, certains modes de vie contemporains vont mettre l’accent sur des « critères d’accomplissement » (avoir une vie heureuse correspond à concrétiser des projets de vie, par exemple), tandis que d’autres vont mettre le focus sur des dispositions d’esprit (être heureux, c’est accueillir les aléas de la vie avec bienveillance, par exemple). C’est une aliénation qui nuit à la spontanéité et à l’authenticité…. Le consentement, c’est le choix d’assumer ses propres limites, de dire « oui » à ces formes de nécessité. Il est certain qu’il y a des “cas-limites” à une telle vision philosophique, et qu’il est important de la confronter à la réalité et à ses enjeux… ». Veuillez recopier les caractères qui figurent sur l'image suivante * Depuis 2008, la-philosophie.com agit pour la diffusion de la tradition et des grandes pensées philosophiques. Qui a affirmé : « L’homme est condamné à être libre » ?Sartre Nietzsche RousseauQuel terme est associé au concept déterminisme ?Destin Nécessité  LibertéQuel auteur a affirmé « L’homme est né libre et partout il est dans les fers » ?HegelDiderot Rousseau A quoi peut être associée la liberté ?A la responsabilité A la passion A la soumissionL'Art de persuader est un ouvrage de :Pascal Aristote SchopenhauerQue signifie la phrase de Spinoza, « L’homme n’est pas un empire dans un empire » ?L’homme vit dans une tyrannie politique L’homme est soumis à la nécessité à l’œuvre dans la nature L’homme est absolument libreQu’est-ce que la « mauvaise foi » chez Sartre ?La volonté d’échapper à notre liberté La conscience d’être conscient Le refus de reconnaître un tort « L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut. Pour un seul « petit mieux » possible, cela ne vaut-il pas le coup d’essayer ? « L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut. En revanche, sur le conséquentialisme, tu prends par exemple le cas de la bombe atomique, et de ce fait en gros tu pointes davantage à mon sens une mauvaise utilisation du conséquentialisme qu’une remise en cause du conséquentialisme. « en très résumé, son idée de “banalité du mal” est fondamentale, très importante pour interroger la barbarie dans nos sociétés (dites) civilisées: elle met le doigt sur un truc très important, que tu mets en exergue, à savoir qu’il serait erroné de penser que ces atrocités sont le produit de monstres (l’idée facile que puisque ce sont des monstres, il n’y a rien à comprendre, c’est leur nature, ce qui évite de s’interroger soi-même). Concernant la morale des vertus, en fait, c’est celle que je connais le moins, et contrairement à toi, celle qui me parle le moins, mais en effet elle semble correspondre à ce que tu dis : un jugement spécifique dans l’instant, au cas par cas. 18 Quizz de Philosophie gratuits : Testez-vous ! Quels sont les présupposés épistémologiques en pédagogie ? 4. L’émancipation est l’« action de (se) libérer, de (s’)affranchir d’un état de dépendance ; état qui en résulte ». L’idée d’inconscient exclut-elle celle de liberté ? Les colonnes du site sont ouvertes aux contributions externes. Eichmann a un profil de petit fonctionnaire docile (il ne paie pas de mine), mais il est au cœur de l’entreprise génocidaire nazie : il est sans doute un des responsable qui en avait la vision la plus complète ». Répondez aux vingt questions phares sur la Liberté et consultez vos résultats en direct. Posez-moi vos questions sur l’un des thèmes de ce site et j’y répondrai dans la mesure du possible par mail ou dans un article dédié ! ces concepts dans Questions d’épistémologie. 2. Il n’y a pas de progrès de l’humanité. John Rawls) et la démocratisation entendue en quelque sorte comme « mise à disposition » des ressources permettant une sorte d’exercice du pouvoir. Selon ce point de vue, on pourrait poser la phrase suivante : « pour savoir qui je suis, connais mon histoire » (on peut dès lors dresser un parallèle avec la philosophie de Ricœur et poser la question de comment nous nous racontons, comment nous nous mettons en récit). L’argumentation d’Arendt est elle-même bancale par endroits, mais en gros, je crois qu’on peut continuer avec Arendt à considérer qu’Eichmann est un “humain banal”, “médiocre”, au contraire d’un “héros” – un héros sur le plan moral s’entend. Sartre est athée. La liberté : en apparence, c'est le fait de ne jamais être contraint, de faire ou de penser ce que l'on veut. Cette action est intrinsèquement bonne ou mauvaise selon qu’elle correspond ou non à des lois ou devoirs (exemples : « ne pas tuer », « ne pas mentir ». Pandémie : Est-ce venu l’ère du technicisme ? D’autres déterminismes sont illustrés dans des œuvres contemporaines comme Matrix ou encore les Sim’s. En ce sens, la liberté correspond en quelque sorte à l’absence de règle, d’obligation. Il y a donc une, Analyse des présupposés moraux d'Enora Malagré à…, Présupposés moraux en éducation et en journalisme, Essentialisme moral, sécurité et totalitarisme :…, Une méthode d'analyse de contenu basée sur la…. Passage sur les domaines de la philosophie.new: Terminale S: Corrigé du professeur. Pour Ricœur, la mort permet de donner sens à la vie. Dans un dictionnaire (ici, le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales), la liberté est définie en général par la négative : « état de celui, de ce qui n’est pas soumis à une ou des contrainte(s) externe(s) ». Ces déterminismes se caractérisent par l’hétéronomie. Travail sur un texte de Leibniz : les différents sens du mot "liberté". (Question subsidiaire : si c’est une affaire individuelle, dans l’instant, est-on dans une forme de subjectivisme qui pourrait flirter avec du relativisme ?). ... Il y a actuellement 3 visiteurs connectés sur ce site ! C'est le rush. Julien Josset, fondateur du site. La différence entre la puissance (le potentiel) et l’actualisation (l’acte) (Aristote) peut permettre de comprendre l’existentialisme. Le principe fondateur de la philosophie est sans doute ainsi l’étonnement, qui provoque et suscite le questionnement. Cette idée d’éviter une trop forte concentration du pouvoir trouve pour corollaire de donner du pouvoir (de la liberté) aux citoyens (dans l’espace public). Nous en avons le potentiel, mais nous ne l’actualisons pas nécessairement : nous ne sommes pas entièrement prédéterminés à être bons ou mauvais (ce qui est un corollaire de notre finitude), mais nous pouvons choisir de poser des actes qui nous définissent par la suite. e peut visionner avec ses élèves l’extrait de cette vidéo portant sur la liberté : 5’20 à 5’51 Exemples de questions Un acte bon est un acte qui a de bonnes conséquences. La morale de Kant effectue un lien profond entre la liberté individuelle et la question des normes, lois et règles (KANT, E., Métaphysique des mœurs, Paris : Flammarion, 1994 (1795)). Elle refuse de voir en lui un idéologue nazi et le voit plutôt comme un pleutre. ». En effet, l’impact des technologies (et plus particulièrement le nucléaire, les OGM et autres) ne peut pas être connu d’avance avec précision.

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