Mais le début du mandat est perturbé par la pandémie de Covid-19. Principal bénéficiaire de l'aide allouée par l'Agence française de développement (AFD) dans le Maghreb, l'Algérie négocie son soutien aux exigences françaises en échange de cette aide, tandis que l'idée de codéveloppement tendant à associer les problématiques de développement et de migrations prend son envol [50]. La dernière modification de cette page a été faite le 4 janvier 2021 à 23:50. M. Boudiaf et A. Kafi ne furent jamais élus présidents de la République en titre, parce qu'ils ont exercé la fonction de «président du HCE» en charge provisoire des pouvoirs de chef de l'État. L'élection présidentielle algérienne de 2014 se tient le 17 avril 2014 en Algérie. Les présidents et Gouvernements Algériens de 1962 à 2019 رؤساء الجزائر و رؤساء الحكومات و وزراؤهم منذ الإستقلال ... un nouveau ministre des affaires étrangères en lieu et place du chef du gouvernement qui assurait l'intérim depuis l'assassinat de Mohamed Khemisti. Celui-ci a été fortement contesté dès sa promulgation par les féministes, dont Fettouma Ouzeguène, Akila Ouared, Zhor Zerari, Zohra Drif (épouse du défunt Rabah Bitat), avocate et sénatrice, ou Louiza Hanoune [29]. L'immigration chinoise au pays s'élevait ainsi, en 2009, à au moins 25 000 travailleurs en situation régulière, ce qui a pu susciter des émeutes xénophobes, en partie en raison du chômage élevé des jeunes Algériens [43], qui composent la plus grosse partie de la population algérienne. Secrétaire général du Front de libération nationale. Abdelaziz Bouteflika, Ali Fawzi Rebaine, Louiza Hanoune, Mohammed Jahid Younsi, Mohand Oussaid Belaid, Moussa Touati. nécessaire]. depuis le 12 novembre 2008 : Premier ministre. Pendant l'ère Boumédiène, plusieurs personnalités algériennes meurent, dont Krim Belkacem en 1970 et Messali Hadj qui meurt aussi en 1974, en France, et est inhumé à Tlemcen. Les proches de l’ancien président, Abdelaziz Bouteflika, tombent un à un. La chanson est devenue le symbole du Hirak de 2019. depuis le 12 novembre 2008 : Premier ministre. Classement des présidents par durée de mandat. Tayeb Belaiz : Ministre de l'intérieur. Amar Ghoul : ministre des transports. Il affaiblit aussi le poids des notables locaux, les cheiks, et généralise le salariat et la protection des travailleurs [15]. La politique de l'arabisation continue [1]. En raison du conflit persistant concernant le Sahara occidental, et qui donne lieu à la Marche verte en 1975, l'Algérie soutenant le Front Polisario, le Maroc retarde cependant la ratification de ce traité jusqu'en 1989. Conformément aux accords d’Évian, l'indépendance est acquise sur le plan politique à travers le référendum d’autodétermination du 1er juillet 1962, par lequel les Algériens se prononcent à 99,72% en faveur de l’indépendance de l’Algérie[3]. Madame Boudjemaa Dalila : ministre de l'environnement et de l'aménagement du territoire. S'ensuit la crise de l'été 1962. De 1962 à 1977, le chef du gouvernement (ou le président de la République de 1963 à 1965) a également exercé les fonctions de président du Conseil des ministres. Après son arrestation aux côtés de Mohamed Harbi, ex-conseiller de Ben Bella qui deviendra finalement professeur en France, Bachir Hadj Ali fonde le Parti de l'avant-garde socialiste (PAGS), qui succède au Parti communiste interdit sous Ben Bella, et qui sera dirigé par Sadek Hadjerès. Sur le plan énergétique, l'Algérie, partie prenante au Traité de non-prolifération nucléaire (TNP), signe de nombreux contrats de coopération nucléaire, notamment avec la Chine, les États-Unis (juin 2007 [34]), la France et l'Argentine [35]. Ces Marocains algeriens du MALG en 1962 ont fait main basse sur le rouages de l’Etat en Algérie après avoir tué les vrais chefs de l’indépendance algériens de souche avec l’aide de la France. Élu pour un premier mandat de 1999 à 2004, Abdelaziz Bouteflika est réélu la même année pour un second mandat qui dure jusqu'en 2009, date à laquelle il est réélu une troisième fois avec plus de 90 % des suffrages. Les dates de la dernière ligne (« mandat électoral ») font référence à la date des élections (s'il y en a eu), qui ont validé le mandat. Liste des ministres du Gouvernement de Michel Debré (1959-1962) sous la présidence de Charles de Gaulle (1959-1969) Gouvernement Debré (8 janvier 1959 - 14 avril 1962) : Michel Debré : Premier ministre Boumédiène règne en autocrate jusqu'en 1978, perpétuant le système du parti unique, mais dirigeant surtout grâce à l'armée. Avant les élections initialement prévues en mars 2019, le pays redoutait et s'attendait à une candidature et même à une victoire de Bouteflika, avec le souvenir amer des précédentes élections de 2014, qualifiées de supercherie. Historique. Plusieurs candidats sont validés par le Conseil constitutionnel pour l'élection présidentielle du 9 avril 2009[55]: », « domaines de la lutte contre le terrorisme, le crime organisé, les stupéfiants, le trafic de véhicules, l'émigration clandestine ». En 2009, le ministre de l'Énergie et des Mines Chakib Khelil annonçait ainsi que la première centrale nucléaire serait prête en 2020 [35]. Le 30 janvier 1995, le premier attentat-suicide, revendiqué par le GIA, choque le pays, faisant 42 morts à Alger [37]. », La Chine inquiète pour ses ressortissants en Algérie, Nouveau contrat militaire de 7 milliards de dollars, La Charte pour la paix, l’exercice des cultes et le statut militaire, Le ministre français délégué à la Coopération, au Développement et à la Francophonie attendu aujourd’hui à Alger. Quelques mois après, l'Algérie est dans un vide constitutionnel et politique, le mouvement est de plus en plus réprimé et Ahmed Gaïd Salah exige des élections au plus vite et se positionne en homme fort du pays, beaucoup de spécialistes étrangers le placent en possible futur dirigeant, à la manière d'un Abdel Fattah al-Sissi en Egypte. Il remporte cette élection le 16 novembre 1995 avec plus de 60 % des voix, contre 25 % pour Mahfoud Nahnah (Mouvement de la société pour la paix, islamiste). En 1993, elle inaugure le réacteur de Aïn Oussara, construit avec l'aide de la Chine [35],[34]. Liste des ministres du Gouvernement de Georges Pompidou (1962-1968) sous la présidence de Charles de Gaulle (1959-1969) Gouvernement Pompidou (14 avril 1962 - 28 novembre 1962) : Georges Pompidou : Premier ministre Quelques rares étudiants procommunistes tentent, sans succès, de s'opposer au coup d'État [13]. Une nouvelle constitution approuvée par référendum en février 1989 marque une rupture en instaurant pour la tenue des élections le multipartisme et un régime de liberté de la presse. Une campagne électorale très engagée est enregistrée entre ces deux candidats, et le suspense entretenu par les médias tant nationaux qu'internationaux, est perceptible jusqu'au dernier jour des élections. De 1962 à 1977, le chef du gouvernement (ou le président de la République de 1963 à 1965) a également exercé les fonctions de président du Conseil des ministres. Un deuxième relais important de l'action de Boumédiène est la direction générale du Plan, devenue secrétariat d'État dans le troisième gouvernement de Boumédiène (1970-1977), et détenue par l'économiste Kémal Abdallah-Khodja [23]. Rabah Bitat est chargé de l'intérim de l'État. On est loin du renouvellement exigé par le mouvement de contestation inédit (Hirak), qui réclamait le démantèlement du «système» dirigeant l'Algérie depuis son indépendance en 1962. 1963 : Ahmed Ben Bella est élu président. ... ancien ministre des affaires étrangères, considéré comme le candidat de l'armée. Il s'engage dès lors à appliquer son programme qui s'articule autour de trois axes principaux : Bouteflika affiche sa volonté de parvenir à la paix civile, faisant voter la loi dite de la « concorde civile » (semblable à la loi Er-Rahma de Zéroual) qui est approuvée par référendum, bien que contestée par ceux qui s'opposent à l'amnistie offerte sans garanties aux islamistes. De 1963 à 1966, la France fait quatre essais atmosphériques et treize essais nucléaire sous terre à Reggane[10], dans le Sahara algérien. Le pouvoir doit aussi faire face aux premiers mouvements populaires depuis l'indépendance. Celui-ci reflète un donnant-donnant simulant une égalité entre partenaires : les uns enseignent aux autres comment lutter contre l’immigration ; ceux-ci enseignent aux premiers comment se battre contre le terrorisme[46]. Le taux de croissance est de 7,5 % en moyenne de 1967 à 1973 [17], tandis que l'emploi est doublé dans la décennie 1965-1975 [18]. Une plateforme est signée ; elle propose aux autorités une base pour résoudre la crise politique en Algérie. Liste des sites web de tous les ministères algérien, par algerie site le meilleur du web algerien et international Il continue le programme de nationalisations entamé sous Ben Bella (création de la Sonatrach en 1963), avec la nationalisation du secteur minier et bancaire (1966), celle du secteur de distribution des produits pétroliers (1967), et enfin le lancement du pré-plan triennal (1966 –1969) en vue de la mise en place des moyens matériels pour la réalisation des futurs plans (plan quadriennal de 1970-1973), et la nationalisation du secteur amont des hydrocarbures (1971). La Liste du Comité de salut public obtient 35 % des suffrages exprimés, suivie de près par la Liste républicaine de concorde et d’action sociale pour la promotion d’une fraternelle civilisation qui obtient 30 % des suffrages exprimés. La réforme constitutionnelle de 2020 a été adoptée lors du référendum du 1er novembre 2020. Se présentant comme candidat « indépendant ». En 1986, la chute du dollar entraîne une forte baisse des revenus issus des hydrocarbures. Pendant la période, de nombreux massacres sont commandités aux portes d'Alger (massacres de Raïs (en), Bentalha et Ramka, avec plus de 1000 morts civils exécutés, semble-t-il, par le GIA). Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a nommé ce 25 mai le gouvernement qui sera conduit par le tout nouveau Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune. Instauration d'un régime à parti unique (FLN). 1476: Ministère de l'éducation nationale. Dès lors plusieurs partis et journaux voient le jour. Les moines de Tibéhirine victimes d'une bavure ? Le Front de libération nationale (Algérie) (FLN), le Rassemblement national démocratique (RND) et le Mouvement de la société pour la paix (MSP) s'allient ensemble pour le soutenir. En 1983, c'est aussi le premier chef d'État algérien à être invité à Paris, par François Mitterrand. Du côté de la Libye, les relations entre Alger et Tripoli sont plus cordiales, du moins jusqu'à un refroidissement dans les années 1980, à la suite de l'accord de 1983 entre le Maroc et la Libye. À partir de 1976, la direction du Conseil des ministres est transférée au président de … 1516: Ministère de l'énergie et des mines. Mais l'Algérie est frappée par la crise économique, l'affairisme et la corruption, ouvrant une « décennie noire » qui fera le lit de l'islamisme. ... à des Algériens dans la banlieue est d'Alger. Les grandes exploitations agricoles, qui couvraient 42 % de la SAU à la fin des années 1970, n'en représentaient plus que 11,7 % en 2001 [9]. Bien que les relations soient tendues avec la France, elles ne cessent jamais complètement, et l'immigration de travailleurs algériens en France continue. C. GUETBI, « Coopération algéro-française dans la lutte contre l’immigration clandestine ». Huit candidats se présentent au premier tour parmi lesquels figure Abdelaziz Bouteflika, ex-ministre des Affaires étrangères de Boumediene. Le président Bouteflika refuse alors de signer le traité d'amitié en préparation avec la France. Le Haut Comité d'État (HCE) est un organisme qui, en cas de vacance de la présidence, est en charge de la gestion de l'État. À l'issue du Printemps noir, plus de 100 morts et 5 000 blessés sont à déplorer. 1971 : nationalisation des hydrocarbures. Conformément aux accords d’Évian, l'indépendance est acquise sur le plan politique à travers le référendum d’autodétermination du 1 er juillet 1962, par lequel les Algériens se prononcent à 99,72% en faveur de l’indépendance de l’Algérie [3].Les revendications nationales, sociales et culturelles donnent naissance à un slogan politique : Tahya el Djazaïr, « vive l'Algérie ». Dès lors, le pays sombre dans le chaos : c'est la « décennie noire ». Une nouvelle constitution est approuvée par référendum le 28 novembre 1996. Président de l’Organisation de l’Union africaine. Economique, l'accord prévoit aussi des clauses militaires; toute agression contre l'un des États doit être considérée comme agression contre tous les autres États. 9 Septembre 1962 liste des harkis assassinés. Le climat est d'autant plus tendu que la loi sur la généralisation de l'arabisation remet la question du pluralisme linguistique au premier plan. Ahmed Ouyahia redevient Premier ministre le 23 juin 2008 en remplacement d'Abdelaziz Belkhadem. Liamine Zeroual lui succède le 30 janvier 1994. Des élections municipales sont programmées. C'est sous l'impulsion d'Abdeslam qu'un monopole d'État sur le commerce et la distribution est instauré, en 1972-1974, menant à la désorganisation de l'économie, à des pénuries chroniques sur certains produits, qui favorisent le système D, la spéculation commerciale et la corruption [26]. Les relations avec le Maroc s'améliorent alors, un traité entre Boumédiène et Hassan II, signé en 1972, définissant les frontières communes. Au terme de plusieurs années de gestion autocratique des affaires de l’État, le président Chadli, soucieux de pacifier toutes les franges du pouvoir et du peuple en vue d'un changement, lance à partir de l’année 1988 l’Algérie dans un processus de démocratisation. le retour de la paix à travers l'application de la « concorde nationale »; le retour de l'Algérie sur la scène internationale (à travers, notamment, le ", le camp informel comme celui dit des « Rochers » près de. Les groupes armés menaient alors ce qu'ils appellent le Jihad (guerre sainte). La Russie profite aussi de la visite du président Poutine à Alger, en mars 2006, pour rafler un important contrat d'armement, faisant de l'Algérie son premier client en 2007 [44]. Histoire Boumédiène lance aussi le slogan « Méditerranée, lac de paix », et convainc Bourguiba de s'associer à cette initiative, sans contenu effectif réel, qui vise à faire dialoguer les pays du Maghreb avec l'Europe [28]. Des élections législatives suivront en 1991. Contrairement aux opinions reçues, le FLN n'a en fait que peu d'influence sur le gouvernement : la plupart des hommes d'État n'ont aucun lien avec le Parti, et n'en ont souvent pas même la carte [27]. Le pouvoir réprime aussi la révolte des Kabyles, soutenue par le Front des forces socialistes de Hocine Ait Ahmed qui est condamné à mort l'année suivante, avant de réussir à s'évader en 1966, ce qui lui permet de partir en exil. Né en 1906, il est originaire de Béni Yeni – Tizi Ouzou. La militarisation du pouvoir issue de la guerre entraîne celle du pays. Très peu démocratique, l'élection présidentielle est contestée de toutes parts, entre autres par la participante Louiza Hanoune (Parti des travailleurs) qui dénonce la fraude électorale [56]. nécessaire], sont en cours pour trouver un accord d'amnistie de ses membres comme cela a été fait avec l'AIS. Abbas est remplacé en 1963 par Ahmed Ben Bella, qui dirige le pays jusqu'en 1965 et instaure un pouvoir fort. Le 25 juin 1998, le chanteur populaire berbère Matoub Lounès est assassiné sur une route de Kabylie. Boumédiène bénéficie alors du soutien de la quasi-totalité de la population [16]. Le 9 avril 2019, Abdelkader Bensalah, jusqu'alors président du Conseil de la nation, est investi des fonctions de chef de l'État par intérim, d'abord pour une période de 45 jours. L’Algérie devient indépendante à l’issue d’une guerre de 8 ans contre la présence coloniale française, une présence qui dura 132 ans, et qui prit fin officiellement le 5 juillet 1962. depuis le 12 novembre 2008 : Premier ministre. Dans le but de restaurer la légitimité perdue des institutions de l'État, Zeroual organise la première élection présidentielle à scrutin pluraliste [40]. Le pouvoir réagit en interrompant brutalement le processus électoral. Ayant un projet socialiste, et recevant de l'aide militaire de l'URSS, il gouverne le pays, en tant que parti unique, jusqu'en 1989. Celle-ci a été sévèrement critiquée par les ONG, la FIDH affirmant ainsi: « Cette proposition d’assurer l’impunité des auteurs de crimes qui viendraient confesser leur culpabilité aux autorités algériennes est, dans le contexte des mesures envisagées par le gouvernement algérien, insoutenable. Des manifestations anti-Bouteflika ont lieu dans tout le pays, mais sont rapidement réprimés et n'ont pas réellement d'écho dans la population. et mise à jour : Henry Quinson), Élection présidentielle cependant boudée par des grandes formations de l'opposition (. C'est par le canal du Ministère de l'Intérieur que transitaient différentes réformes importantes (décentralisation, réforme agraire, nouveaux villages « socialistes », modernisation des villes[23]…). Houari Boumédiène prend le pouvoir à l'issue du putsch de 1965, qu'il présente officiellement comme un « correctif » décidé par le Conseil de la révolution algérienne[12]. La Charte de 1976 abandonne l'allusion à la « révolution socialiste », et place l'Algérie davantage dans le camp des non-alignés. Madame Derdouri : ministre de la poste et des télécommunications. Les illusions perdues, Chronologie d’une affaire étouffée par deux raisons d’état, Perspective de coopération dans le nucléaire civil, Le pays se dotera de sa première centrale nucléaire en 2020. Le troisième relais de la modernisation est constitué par le Ministère de l'Industrie et de l'Énergie, dirigé par Bélaïd Abdeslam, et dont l'administration rassemble la plupart de l'élite moderniste nationale [24]. Douze ans plus tard, la presse évoquera la possibilité d'une bavure des services de renseignement algériens, camouflée en attentat du GIA [38], [39]. Abdelaziz Bouteflika décide de maintenir sa candidature et remporte à l'issue du scrutin l’élection présidentielle avec un taux de 74 %. En juin 1990, le Front islamique du salut (FIS) remporte les élections municipales. Ministre de la Reconstruction et des Travaux Publics et du Transport, dans le premier Gouvernement Ben Bella, le 27 septembre 1962. Un proche d Ali Benflis. Grandeur et décadence de l'État algérien. C'est alors une présidence collégiale de transition. Seul le GSPC demeure véritablement actif, profitant même des attentats du 11 septembre 2001, aux États-Unis, et de la célébrité acquise par Al-Qaïda: il se rebaptise en 2007 Al-Qaida au pays du Maghreb islamique et revendique l'un des rares attentats-suicides du pays le 11 avril 2007 à Alger, qui fait une douzaine de morts et plus d'une centaine de blessés. Sur le plan institutionnel, une Charte et une Constitution sont adoptées. En s’octroyant les ministeres , la … Abdelmajid Tebboune lors de son retour après une hospitalisation suite à sa contamination par le coronavirus promulgue la réforme constitutionnelle le 1er janvier 2020.
liste des ministres algériens depuis 1962 2021