immondes : « Celui qui distingue entre les aliments est condamné, parce » Remarquez toutefois qu’il ne dit pas seule- m dans les commandements. des vêtements de luxe que pour la satisfaction d’une vaine gloire, que dans des exemples propres à vous encourager ? J’aurais préféré les ri- Préface des Éditions de Londres. L’Apôtre saint Paul, dans la lettre à Timothée que nous avons précé- d’après ce qui se montre dans ses actes. Il ne sépare point le sort d’Héloïse d’avec le sien. cette impression devient plus pénible encore. traîné comme un hérétique ou un impur dans les conciles ou dans les synagogues. c’est avec justesse et convenance que les moines doivent être répartis en régler. Il me reste maintenant, Dieu aidant, à déterminer le caractère de » Ce que le Psalmiste n’avait que trop Telle fut la force de la conscience, En effet, il est l’origine des avec des personnes d’un caractère grave et religieux, s’enquérir diligem- exemple ses disciples qui déjà aspiraient à l’honneur du premier rang. tres, serait faute vénielle, devient chez ces apostats éhontés un excès crimi- d’aussi contraire à nos vœux et au repos de la sainteté, que le vin ? », L’élévation de la croix est la partie ajoutée du sommet sur lequel a été ». « Heureux l’homme, dit David, qui » Et quand je reportais mon esprit sur les outrages que la afin de savoir clairement si ces mérites pris isolément suffisent, ou s’il est rendre témoignage. fort de l’amour divin ; celui avec, lequel et sous lequel vous vous êtes consacrée lire, non au point de vue de la vérité des dogmes, mais en vue du respect Quelle que soit la pensée qu’Abélard ait d’abord suivie, nul doute que, dans ce cœur impétueux, tous les calculs n’aient bientôt cédé la place à un autre sentiment. de la maxime qu’il adresse à Rusticus : « Aime la science des Écritures, Il ne dit pas, en effet, le temple du Père, le temple du Fils, comme il dit le Écritures, bien que certains psaumes portent le nom d’hymnes ou de saints nité n’y règne, si la direction suprême ne repose entre les mains d’un seul. Telle Jérusalem, la cité de qualité de la nourriture et du vin. c’est-à-dire qu’il les a tous prescrits, et non un quelconque d’entre eux. Pour passer des vierges plus jeunes aux plus âgées, qu’il excite sans cesse On n’aura point d’autres livres au chœur que celui qui sera utile pour l’of- épouses du Christ. attribut. les religieux, doivent, selon la parole de l’Apôtre, s’abstenir des moindres » Le même, écrivant à Asella sur les », Repassons en esprit tous les préceptes de l’Apôtre, nous verrons que c’est Mais il expose en détail les sentiments qui ont inspiré sa conduite ou ses écrits, les persécutions dont il a été l’objet, les fureurs de l’envie qui a animé ses rivaux contre lui, et il en prend occasion pour adresser, en passant, un mot de vive réponse à ses ennemis. parce que Dieu ne le repoussera pas dans l’éternité. L’éloge venant de vous est d’autant plus dangereux pour moi qu’il m’est plus doux. prieur et moi, dans la plus grande anxiété. bien pour l’exemple des vertus que pour la lecture des lettres. Saint Augustin était bien Celles qui ont besoin de méditer sur quelque psaume ou sur quel- Aussi ne sommes-nous pas peu étonnés, —c’est une inspiration du démon, L’un d’eux était le serviteur particulièrement attaché à ma » et encore : « Crucificrai-je votre roi ? Il met à la tête de la congrégation sept sœurs officières chargées de veiller aux choses qui regardent les âmes et à celles qui concernent les besoins temporels ou corporels. se mettre au rang, non des religieuses, mais des courtisanes. cœur s’est exalté dans le Seigneur ? », Or, ou n’est jamais plus libre de le faire, que lorsque, s’éloignant matériellement de ce gouvernement. En second lieu, il proteste que, s’il a parlé de ses divers malheurs et des dangers qui le menacent de mort, c’est qu’elle l’avait elle-même adjuré de le faire. eu égard à l’abstinence monastique. ter la fureur ; » et ailleurs : « Une parole douce multiplie les amis et apaise de Dieu qui vous conduit. » Et le bienheureux Job : Abélard. qui, selon saint Jérôme, convient aux couples mariés, étant impur ; —- Adieu en Jésus-Christ, servante du Seigneur, jadis chère à mon âme dans Le — qu’il ne se fasse dans les monastères aucune étude pour l’intelligence — Il eût été conforme à l’esprit de que rien de ce qui se ferait ne pût être attribué qu’à vous. vaincu, Sisara son général tué, l’armée profane détruite, entonna un can- maître, avait une habileté merveilleuse à peindre les femmes ; la seconde, répond : « Tu l’as dit. aveugles pour vouloir passer du rafraîchissement d’un si grand repos aux Il est plus sûr de fuir le danger que d’engager la bataille. volonté, mais celle de mon Père qui m’a envoyé, » c’est comme s’il nous Puis elle revint avec eux au tombeau, dangereux de juger le serviteur d’autrui ; qui calomnie le juste sera difficilement ». que nous le lisons, le petit lit de l’épouse n’est autre chose que le lit d’une tandis qu’il recevait d’eux de riches offrandes, jamais, lisons-nous, il n’en au sujet du jurement. chaque archidiacre, tous les ordres ecclésiastiques ont leur supérieur. Si vous craignez de paraître telle, trêve, je vous eu conjure, trêve à ces plaintes. La plus faible, et la moins coupable, vous vous êtes montrée la plus forte. contraire, à prendre, par ignorance et par impossibilité de faire autrement, Celui d’Héloïse, bien supérieur par la vigueur et par le feu, présente d’étranges intermittences de froideur, partout où la controverse se glisse à la place de la passion, et Bayle n’a pas tort de dire que, si Bussy-Rabutin « se fût aussi bien connu en langue latine qu’en langue française, il n’eût pas donné tant d’éloge à sa latinité, trop souvent pédantesque et subtile. 315, de la femme, purifié par de fréquentes purgations, est un tissu rempli de l’époux mort ce jour-là. En effet, celui qui — Nous ne permettons pas aux veuves qui ont fait vœu de reli- nombre de difficultés, notre zèle s’est ralenti. un coin dans le paradis pour ceux qui ne peuvent prendre place auprès des ment l’ensemble de la loi. qui est marié, en effet, est, pour ainsi parler, divisé en deux : il sert Dieu, ple de Dieu, non pour se livrer au plaisir du commerce de la chair ; c’était pays. entretien, pour savoir ce qu’on déciderait de moi et de mon livre, qui avait reconnaîtrons la supériorité incomparable, alors devenus plus humbles et besoin, ainsi que l’Apôtre le conseille à Timothée, c à cause des faiblesses prend plaisir à regarder les jeux du cirque, les combats des athlètes, le jeu Est-il une gloire comparable à celle que ce sexe a acquis dans la personne Quel est, en effet, le Heu où le péché n’ait sa place ? Si elles ne servent pas à nos mérites, elles contribuent du moins, Le mot qui remplit son cœur lui échappe enfin. périra, et l’entendement de ses habiles sera obscurci. Pourquoi donc enleva-t-il à Tyr et à Sidon, villes %de Gentils, les Le Seigneur renversa les sièges des superbes, et mit zc&t même chose, de passer du rafraîchissement des justes à l’enfer des des malades autant que des gens en bonne santé ? elle qui accuse ainsi Abélard, c’est la foule. repentant que pour quatre-vingt-dix justes qui n’ont pas besoin de se repen- vous réclamez de moi ce que j’attends de vous. qui nous convient, à moins qu’il s’en puisse imaginer un qui soit plus — Absolution d’Abélard, https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Lettres_d’Abélard_et_d’Héloïse/Texte_entier&oldid=6725006, licence Creative Commons Attribution-partage dans les mêmes conditions, Je ne boirai plus 4e ce jus de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai de nou-. tendre et plus sacré. C’est alors, qu’avec une décision tranquille, il aurait cherché les seules satisfactions qu’il ne connût pas encore, les satisfactions de l’amour. Seigneur. frères pouvaient le faire avec sa permission, tandis que lui ne le pouvait que pour profiter, ne demandent qu’à être arrosés. Ainsi fait-on au commen- façon à ne rien chercher au delà du nécessaire, à ne recevoir aucune offrande, Père est le premier, le Fils le second, et ne se souvient pas du précepte de, 55 LETTRE ET PROFESSION DE FOI D’HÉLOÏSE A ABÉLAJU). de la vie solitaire, fuyant le monde et n’y voulant pas rester. pas même pour dormir. Passion, il faut s’en rapporter à ce que le Seigneur dit aux fils de Zébédée : VIII. Pope et Colardeau. Epistolae I-VIII et Règle pour le Paraclet (1135-1139) : Lettres d’Abélard et Héloïse, édition Éric Hicks, trad. Les traductions tiennent bientôt à être mariage, vivre suivant la loi, demanda avec instance à saint Jérôme de Eu effet, de tout le peuple de l’Église ». autre, mais qu’on la prend soi-même : je veux dire la croix par laquelle ce l’avenir ; digne fille du dix-huitième siècle, elle offre, en sujet de L’âme n’esUelle pas Si ce sont des pauvres à qui il faille laver les pieds* Quel est le sens de ce que le Seigneur répond aux Juifs qui l’interrogeaient disent : « Introibo in domum tuam, adorabo ad tcmplum sanctum tuum… » ainsi que le rapporte Bède, a rédigé non-seulement de justice ne peut vouloir qu’autrui lui fasse même chose. blasphème contre le Fils de l’homme qui rabaisse le Christ et nie sa divi- Je m’égare moi-même, et ne me connais pas… quons-nous à chanter, dit-il, de façon que votre âme soit en harmonie avec veillera avec soin à l’observation du précepte de l’apôtre saint Jacques. Toutefois, il dit qu’il avait désiré célébrer la seils de la chair, la terre des vivants, c’est-à-dire la vraie solidité de la béa- Ainsi est il des enfants et des idiots : lorsqu’ils ne font Aussitôt je revins de Melun à Paris, avec l’espérance qu’il me laisserait la paix. en effet, qui s’engendre soi-même. sang, par respect pour la vérité. les persécutions ; il faut que la vertu de l’homme soit consacrée par la » Et ailleurs, dans le livre sur la Fuite du siècle : « Vous le 11 en est qui, ignorant la mesure de la sagesse, se font honneur d’avoir Mais la condition des Il appelle donc filles de Bélial celles qui sont telles que l’ont décrit les déshonnêtes et les enchaîne, ou quand il ne leur laisse leur liberté et leur rendront la joie des moments de réunion plus délicieuse ; et c’est longtemps connue de tous, s’y expose pour l’instruction d’une seule vierge, flûte, mais ne sont pas agréables au Seigneur, qui se plaisent à produire des Encore une fois, je vous en supplie, pesez ce que vous devez, considérez ce que je demande, et je termine d’un mot cette longue lettre : adieu, mon tout. nous dans les Vies des Pères : • Quelqu’un rapporta un jour à l’abbé Pas- chanoines réguliers ; l’autre, ceux des moines. Quant à elle, qu’importe le nom dont on que le serviteur du Christ veille aux besoins des épouses du Christ : qu’il vous êtes venu l'an passé, le seizième jour des calendes de décembre, célé- Il m’a été plus facile de trouver des vêtements en double, ainsi que Salomon a dit, à la louange de la femme fait son troupeau, afin que vous n’ayez plus sur elles aucun sujet de trouble exigences immodérées que l’Apôtre ne prescrit point comme un comman- Elles n’y devront — Nous pensons que les jourd’hui, pendant cette nuit, avant (pic le coq ait chanté deux fois, vous me de Moïse. », Fidèle à tous ces souvenirs, le docteur que j’ai cité recommande le com- le dit ailleurs le Seigneur : « J’enverrai la faim sur la terre, non pas Ne regardez pas le vin quand il paraît doré, quand son éclat brille dans le cristal. presque stupéfait de voir dans les processions, lorsqu’il marchait devant Poussant plus librement encore Héloïse dans cette voie singulière, Tâchez, vous aussi, d’étancher votre soif à la source de que j’instruirai pour la préparer à la céleste couronne. d’autant plus d’énergie, qu’il sait qu’il a peu de jours à vivre, et qu’il lui que personne ne pourra avoir une pensée contraire à celle du Seigneur, ni humblement ses épaules sacrées à leurs coups ; il recevra en silence leurs demeuré ainsi pendant tant d’années et tant de jours, ou qu’il a été là pen- Le Seigneur dit Bussy-Rabutin lui avait fait écrire résolûment : « Je suis décidée à régénérer dans le Christ, à ce point qu’il déclare exempt du péché le com- changera en joie, i tandis qu’aux réprouvés il tient ce langage contraire : Sans doute, l’émotion qu’il laisse entrevoir, dans ses premières réponses, n’est pas encore suffisamment dégagée d’un sentiment de préoccupation personnelle ; et les homélies en quatre points qu’il adresse à Héloïse, en échange de ses lettres enflammées[64], ont au premier abord une froideur qui déconcerte. plus tard, quand accusés, l’occasion se présentait de se démettre, ils défen- néanmoins condamnées pour d’autres péchés, qn’adviendra-t-il de celles qui nous nous rendons caution pour un ami, lorsque noire chanté reçoit quel- gieux est expose à ces tentations, comment celui qui ne fait rien y échap- savez-vous pas que vos corps sont le temple de l’Esprit Saint qui est eu vous, nes témoignent assez d’elles-mêmes qu’elles sont des hymnes de nuit. vous semez devant des pourceaux les perles de votre divine éloquence ; On remarquera dans cette lettre l’érudition d’Héloïse et son intelligence remplie de toute sorte de connaissances. » L’Apôtre, par les enseignements de sa prédication, avait Que nous enseignent tous ces préceptes, sinon de vivre suivant la sagesse chrétienne et de faire servir, comme Jacob, les animaux domestiques à la nourriture de notre père, au lieu d’aller, comme Ésaü, chercher ceux des forêts et de judaïser dans les pratiques extérieures. Vous avez écrit à votre ami une longue lettre de consolation, en vue de Tout est pur ; le mal est dans l’homme En effet, vous composerez un trésor de miel, mais non pour un seul. Ecriture : « Il coulera de son sein des fleuves d’eau vive, » LETTRES D’ABÉLARD ET D’HÉLOlSE. Toutefois, pour que anges de Dieu. hommes ayant conservé leur innocence, que des hommes faisant pénitence fondues en une sorte de composition oratoire ou lyrique, sans réalité, celle-ci : t Maudite soit la femme stérile qui n’a pas laissé de postérité dans avec saint Bernard[86], le faux apôtre ; comme elle l’appelait dans Ésaû perdit la gloire de son droit d’aînesse, pour avoir ardemment désiré une C’est cette promesse C’est surtout lorsqu’elles sont tion. dette. » En effet, comme le blanc est l’emblème du bonheur, de même on peut dire que le noir représente l’adversité. étaient pour moi une torture plus grande que la mutilation de mon corps. lorsque le bouleversement de notre âme nous aura ravi tout repos ? parole du Seigneur, « il est beaucoup d’appelés et peu d’élus. à Pilate, que le jour est proche où ils le reconnaîtront. Nous n’avons pas omis non plus l’hymne des convaincu de cette vérité, quand dans un certain passage de son instruction Il n’y avait qu’une voix pour me reconnaître digne du pontificat. Pour elles aussi, le Seigneur se Plût à Dieu que cette délicieuse maison à manger avec gourmandise, i Que celui qui mange, dit-il, ne méprise pas Quant aux psaumes et aux cantiques, ils ont été préparés dès longtemps Ce que dit saint Marc, il le rapporte à l’expression du reniement ; Courez de tous côtés, hâtez-vous et réveillez-vous ; ne Non contents de me tourmenter, ils volaient et emportaient tout ce qu’ils pouvaient prendre, pour me créer des embarras, et me forcer, soit à relâcher les règles de la discipline, soit à me retirer. Il a, au contraire, si bien pris ses mesures une vérité que de la faire concevoir par une image, et d’appuyer le témoi- saint Jacques le fait heureusement observer, quand il dit : « nous péchons qui s’offre d’elle-même et qui est de l’apprêt le plus facile, du prix le moins -—- Nous avions Il mange avec nous l’ancienne Pàque changée en la nouvelle, écrit, à ce sujet, soit par eux, soit pour eux, ainsi que le plus souvent les règne de César-Auguste et le consulat de Pollion, la naissance miraculeuse d’un enfant envoyé du ciel sur la terre pour effacer les péchés du monde entier et ouvrir aux hommes une ère pleine de merveilles ; il le dit lui-même, il avait été éclairé à ce sujet par l’oracle de Cumes, c’est-à-dire par la Sibylle. », Il est certain que parmi ces diaconesses était Phœbé, que l’Apôtre recommande avec zèle aux Romains, et en faveur de laquelle il les supplie. la violait tout entière. » Et vous aussi, vous baignant De l’âme, en effet, sortent les pen- questions sur les Écritures. s’y livrer, d’interrompre l’exercice de la prière. il me semblait que, plus je me ferais humble pour vous, plus je m’acquerrais Au seul caractère Qu’y a-t-il donc d’étonnant que le Seigneur ait accordé la voie des Apôtres vivant en commun. » Pesez toutes les paroles de la Sibylle : quel résumé clair et complet de ce que la foi chrétienne doit croire de Jésus-Christ ! Celui qui enfreindra cet or- Et ce n’est pas seulement aux usages des religieuses, qu’il parle devant tout le monde, et que personne ne lui répond, et le par la psore et par d’autres incommodités, je l’envoyai à Châlon prendre ils soient gagnés par les exemples de leur commerce, et envisagent avec de la sage Aspasie dans son entretien avec Xénophon et sa femme, entretien propre des moines, a connu le don de la chair plutôt que celui du vin. l’ancienne loi et le commencement du règne de la nouvelle. à mes volontés personnelles. » Ce précepte est applicable au bien comme au mal. C’est de ces miroirs que saint Grégoire se faisait un vase de componction, alors qu’admirant la vertu des saintes femmes et les triomphes du sexe faible dans le martyre, il s’écriait en soupirant : « Que diront ces barbares, en voyant de tendres jeunes filles supporter de tels tourments pour le Christ, un sexe si délicat sortir victorieux d’une telle lutte ? commette les mômes fautes qu’eux. qu’au milieu du luxe et des jouissances, la vigueur de leur âme ne fût De la part du Seigneur, dire cela, La plupart des hymnes portent ces indications. Par une singulière perversion d’imagination, les divers traducteurs — Vous m’avez demande mon quand il dit : « Il est bon pour l’homme de porter le joug de la jeunesse ; il à leur ambition. c’est bien là le tableau de tes épreuves sans merci ni trêve, ô mon bien suprême ! Vous vous donnez à des ennemis ; pensez à ce Quant à lui, cherchant à se retrancher de son mieux : Le tout, l’hérésie. Pourquoi La porte leurs cloîtres, ne jamais se produire au dehors. Et ceux qui ont écrit les Vies des Saints appelaient vieillards ceux que nous vous ne songez pas à l’œuvre de Dieu ; c’est pour cela que mon peuple a tu seras béni entre tous les peuples. ». vous et aux servantes du Seigneur qui habitent avec vous. examen ni épreuve, ils les perdent par l’apostasie. d’édification avec les vierges ? lequel nous succomberions : chute d’autant plus grave que le degré auquel rité, et non : je suis la coutume. dans le chapitre suivant : « Demande : convient-il que celui qui dirige le et tout ce que nous lui demanderons, nous le recevrons, si nous sommes Je veux donc que les jeunes veuves se marient, qu’elles mettent au qu’il modifie tout entière, ou qu’il est placé avant quelque terme auquel il suffire aux exercices de toute une semaine. solument à la diaconesse de vivre plus délicatement, plus mollement qu’au- » Ceux qui tiennent cette

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